Sa bijouterie-horlogerie est vieille de plus de 50 ans et il en est fier. Raj Kamal Teeluck s’est lancé dans l’aventure en l’an 2000 après que son père la lui a léguée. Alors que la nouvelle génération regarde l’heure sur leur téléphone ou Smartwatch dernier cri, notre interlocuteur s’acharne à réparer les montres « d’époque ». Il avoue, toutefois que « les montres d’aujourd’hui sont plus faciles à réparer ».
Assis dans son petit atelier à Rose-Hill, derrière une vitre, il s’active méticuleusement sur un mécanisme. « Ce métier, je l’ai appris en observant mon père. J’ai appris sur le tas et c’est la meilleure école ». Et d’ajouter mélancolique et réaliste : « Ce métier est en voie de disparition ».

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