Au-delà des lacunes du Workers’ Rights Bill, c’est une partie de l’écosystème de travail qu’il faudrait revoir, juge Jack Bizlall. Il faudrait, par exemple, «mettre de l’ordre» au niveau de l’inspectorat du ministère du Travail, estime le syndicaliste. Tout comme il faudrait pouvoir empêcher les fonctionnaires de ce ministère de travailler ensuite pour le secteur privé, surtout si c’est pour aider les employeurs au détriment des employés.

Le syndicaliste est également critique du fait que le projet de loi, actuellement débattu à l’Assemblée nationale, prévoit un régime différent pour les travailleurs étrangers.

Il était face à la presse le 8 août.

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