Les discussions sur le nucléaire iranien entrent dans le dur. Les Iraniens ont planté le décor, vendredi 14 janvier, juste avant un week-end de consultations de leurs négociateurs à Téhéran, affirmant avoir atteint le « stade des détails, la partie la plus difficile des négociations », d’après l’Irna, l’agence de presse officielle iranienne.

Les pourparlers entre le groupe P4+1 (Chine, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne), l’Union européenne, l’Iran et les États-Unis, présents de manière indirecte, ont donc repris lundi à Vienne, avec plus d’enjeu que jamais. Et pour aborder cette phase de négociations délicate, Téhéran peut compter sur la Chine. En coulisses, le négociateur chinois Wang Qun, plus discret que son homologue russe Mikhail Ulyanov friand de tweets et de déclarations à la presse, joue en effet un rôle clef.

Dans les médias chinois, le diplomate au nœud papillon a plusieurs fois souligné le rôle « unique et constructif » de la Chine dans ces pourparlers et son travail avec toutes les parties pour encourager la reprise du processus de négociation entre les Américains et les Iraniens – et ce, au plus vite.

Source : France24

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