«De gauche à droite», la commission anticorruption reçoit des plaintes. Elles ne sont pas toutes suffisamment sérieuses pour faire l’objet d’une enquête. C’est ce que précise le directeur général de l’institution.

Pour Navin Beekarry, l’accusation de corruption portée contre le ministre du Logement et des Terres par un homme d’affaires indien doit faire l’objet d’un examen préliminaire avant que l’Independent Commission against Corruption (ICAC) ne décide de diligenter une enquête. On n’en est pas encore à cette étape, confie Beekarry.

Le directeur général de l’ICAC explique également que l’institution s’intéresse de près aux travaux de la commission d’enquête sur la drogue. Il laisse d’ailleurs entendre qu’en temps et lieu, les avocats dont les noms ont été cités durant les travaux de la commission Lam Shang Leen pourront être convoqués à Moka.

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