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L’une des compagnies d’Alvaro Sobrinho va se voir retirer son Collective Investment Scheme (CIS) Manager Licence. La Financial Services Commission (FSC) a déjà initié les procédures en ce sens. C’est ce qu’a indiqué Sudhir Sesungkur au Parlement, cette semaine. Cela en réponse au député Reza Uteem, qui cherchait une nouvelle fois des clarifications sur les compagnies qu’Alvaro Sobrinho gère directement ou indirectement. Les cinq compagnies de l’homme d’affaires angolais détiennent,
George Chung Ming Kan Kan a été nommé liquidateur des sociétés de BAI Co. (Mtius) Limited par la Cour. Ce que conteste Reza Uteem, qui l’a fait savoir au ministre de la Bonne gouvernance et des Services financiers au Parlement, le mardi 22 mai. George Chung, a argué le député MMM, est partenaire de BDO tout comme l’administrateur spécial pour BAI, Yacoob Ramtoola. C’est d’ailleurs ce dernier qui a fait l’application
Quantum Global (QG), victime des actions du Fonds souverain angolais à son encontre ? C’est ce qu’avance le groupe fondé par Jean-Claude Bastos de Morais, qui annonce avoir fait une demande de révision judiciaire. «La FIU et la FSC se sont laissé entraîner dans un litige commercial entre Quantum Global et son client, le Fonds souverain angolais connu sous le nom de Fundo Soberano de Angola (FSDEA)», est-il écrit dans un
Quantum Global a, en Cour suprême aujourd’hui, demandé qu’une partie de ses fonds soit débloquée, afin de pouvoir s’acquitter des salaires et des frais légaux. La Financial Intelligence Unit a objecté. Une nouvelle audience est prévue le 11 mai. L’entreprise de Jean-Claude Bastos de Morais veut une résolution rapide de son litige avec les autorités mauriciennes. Elle se donne six mois pour cela. Au-delà, si l’affaire n’est toujours pas réglée, QG
«La Financial Intelligence Unit (…) refuse toujours de fournir des détails sur les raisons derrière sa décision.» C’est ce que note Quantum Global après une première audience en Cour suprême, ce 20 avril. Tout en saluant, dans un communiqué, la tenue d’«une audience impartiale». La Financial Intelligence Unit (FIU) a demandé et obtenu le gel des comptes de la compagnie fondée par Jean-Claude Bastos de Morais. D’une trentaine début avril, le
Après le gel des comptes bancaires détenus par Quantum Global (QC) à Maurice, la société dirigée par Jean-Claude Bastos de Morais dit ne pas avoir pu honorer ses engagements aussi bien auprès de ses partenaires d’investissements que de leurs salariés. C’est à partir de Maurice que QC gère 7 fonds de placement opérant dans les domaines de l’infrastructure, de l’agriculture, de l’hôtellerie et des mines notamment. Dans un communiqué émis
Quantum Global réclame «une explication exhaustive» de la Financial Services Commission (FSC). Le régulateur a suspendu, le 8 avril dernier, les licences de 7 fonds d’investissements du groupe basés à Maurice. Le groupe veut une «audience juste et impartiale» et «l’occasion de se défendre» face à ce qu’il estime être une «absence de procédure équitable» et «la précipitation pour nous sanctionner», fait valoir Jean-Claude Bastos de Morais (photo), son fondateur et
L’immunité accordée pour déposer devant une commission d’enquête. C’est la raison évoquée par Pravind Jugnauth pour avoir refilé l’affaire Sobrinho à la commission anticorruption au lieu d’instaurer la commission d’enquête réclamée par l’opposition. Une telle structure «ne ferait que traîner les choses», a soutenu le Premier ministre au Parlement, ce mardi 27 mars. «Et ne déboucherait pas sur des actions concrètes, contrairement à une enquête menée par l’ICAC.» Le chef du
A peine lancé, le comité régulatoire sur la Fintech et les services financiers innovants devrait déjà soumettre son premier rapport. Et ce dans à peine deux mois, en avril. Le document servira de base aux «regulations» à mettre en place pour encadrer ce nouveau secteur, explique Harvesh Seegolam. Il faudra trouver un «juste équilibre» dans la régulation, insiste le Chief Executive de la Financial Services Commission (FSC) et membre du
Les opérateurs du secteur financier sont prévenus. La Financial Services Commission sévira contre tout opérateur, compagnie de gestion ou ‘approved officer’ en lien avec des activités frauduleuses ou illégales, et qui risquent de nuire à la réputation de Maurice. C’est ce qu’indique le régulateur dans un communiqué de presse daté du 24 novembre et circulé à la presse aujourd’hui. La commission réagit dans le sillage d’articles de presse suivant la diffusion,