Ashok Subron, porte-parole de Rezistans ek Alternativ (ReA) avance que le mini amendement constitutionnel de 2014 a créé «un flou juridique». Le parti au papillon était de nouveau en Cour suprême, ce mercredi 15 mai. Il conteste l’obligation faite aux candidats aux élections de déclarer leur appartenance ethnique.

En attendant que le chef juge Eddy Balancy se prononce sur la demande de récusation du Parquet le visant, le parti au papillon a soumis des modifications à sa plainte. L’Etat a a objecté. Une nouvelle audience est prévue ce vendredi 17 mai prochain.

Le mini amendement voté en amont des élections de 2014 était une mesure temporaire, a rappelé Ashok Subron. En soulignant que le combat que mène le parti au papillon remonte à 2005.

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