Osman Mahomed a soulevé ce point hier, le 2 juillet à l’Assemblée nationale. Dans certains quartiers urbains, les cameras de surveillance du projet Safe City sont placées juste en face des maisons d’habitants. Le député travailliste s’inquiète pour leur droit à la vie privée, d’autant que l’équipement déployé utilise la reconnaissance faciale. «Ils n’ont qu’à garder portes et fenêtres closes», a rétorqué le ministre mentor, sir Anerood Jugnauth. En soulignant que cette technologie permettra d’identifier les personnes disparues ou recherchées pour des crimes et délits.

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