L’ouverture de l’hôtel Anantara a pris près d’un an de retard en raison des contestations devant la justice. Toutefois, maintenant que l’établissement hôtelier a ouvert ses portes, Dinesh Burrenchobay souhaite placer les désagréments du passé derrière lui.
Si l’impact environnemental du projet avait été mis en cause, le Managing Director de la section Hospitality du groupe Currimjee assure que toutes les conditions de l’Environmental Impact Assessment ont été respecté. Notamment la distance de 100 mètres qui sépare l’hôtel de la plage.
Cet aspect de l’établissement n’incommode guère les clients, assure Dinesh Burrenchobay. Qui précise aussi qu’étant situé dans une zone protégée, aucun sport nautique motorisé n’est autorisé dans le lagon en face d’Anantara. De plus, les eaux usées de l’hôtel mais aussi de la future Training Academy des gardes-côtes seront retraitées par le centre d’assainissement de l’hôtel avant d’être utilisées pour l’irrigation.
Pendant neuf ans, les promoteurs hôteliers se sont confrontés à Aret Kokin Nou Laplaz devant la justice. Le projet hôtelier a néanmoins reçu le feu vert de la Cour suprême après avoir fourni suffisamment d’éléments pour démontrer que l’établissement n’allait pas nuire à l’environnement côtier, notamment les dunes de sable.
L’établissement, en mode soft launch depuis le 1er septembre accueille une clientèle grandissante, assure Dinesh Burrenchobay.
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