C’est ce qu’explique le fondateur du groupe BAI à Maurice dans une lettre rendue publique ce mardi matin. Actuellement en France, Dawood Rawat estime, dans la correspondance que «les conditions d’une audition garantissant le respect de [ses] droits ne sont pas réunies aujourd’hui sur le territoire de la République de Maurice » à cause, notamment, des « excès de discours » le visant. L’homme d’affaires promet toutefois de saisir la justice afin de faire sanctionner les « atteintes à [sa] probité ».

final letter rawat

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