Arvin Boolell dit avoir de bonnes chances de se faire élire lors de la partielle de Belle-Rose/Quatre-Bornes. Il estime que c’est sa méthode et sa proximité avec les électeurs du no 18 qui peuvent lui assurer la victoire.

Navin Ramgoolam l’a-t-il placé dans une position inconfortable en le désignant candidat du Parti Travailliste (PTr) ? Non, rétorque le cadre rouge qui précise que si c’est le leader du PTr qui proposé sa candidature, c’est à l’unanimité que le bureau politique a soutenu la proposition.

Boolell pense que des changements doivent être apportés à la manière dont le parti est géré, notamment à travers un retour aux valeurs d’origine des travaillistes et l’utilisation d’outils de communication récents. Si l’ancien ministre de l’Agro-industrie et des Affaires étrangères estime pourvoir apporter ces changements en étant leader des travaillistes, il affirme que d’autres cadres du parti peuvent légitimement aspirer à ce poste. Car «le Parti travailliste n’appartient pas à un individu, mais à la nation mauricienne».

Pendant un peu plus d’une heure, ce jeudi 3 août sur le plateau d’ION News, le candidat des rouges a soigneusement évité les attaques frontales contre les autres candidats de l’opposition à la partielle de Belle-Rose/Quatre-Bornes mais aussi contre Navin Ramgoolam.

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