Dans les cas de violence domestique, il ne faut pas oublier les agresseurs. Car si les lois posent un cadre pour la prise en charge des victimes, il n’en est pas de même quand il s’agit de leurs bourreaux. Or, ces derniers devraient avoir une obligation de soins, notamment par le biais d’une thérapie, estime Maya Hanoomanjee, si l’on veut éviter la récidive. Le Parliamentary Gender Caucus qu’elle préside est du même avis, affirme la Speaker.

Maya Hanoomanjee participait, le vendredi 11 mai, à un atelier de travail avec des organisations non gouvernementales et des représentants des médias sur l’étude que le Gender Caucus a fait mener sur les auteurs de violence domestique.

Pour Ibrahim Koodoruth, sociologue, l’éducation est aussi primordiale pour sensibiliser au plus tôt et prévenir les actes de violence. Un avis auquel souscrivent de nombreuses ONG qui ont participé à l’atelier.

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