Chacun y est allé de sa petite idée ou de son constat. «Il faut s’attaquer à la source du problème et non trouver des coupables pour payer les pots cassés», avance un membre de l’auditoire. Un autre répond : «Il faut trouver des alternatives aux plastiques.» Un troisième suggère une approche plus pragmatique : «Il faut mettre en œuvre des sessions de travail en continu.»

La première journée de débats des Assises de l’environnement a été ponctuée de remarques de ce type. C’était notamment le cas lors de la session technique avec pour thème Lutte contre la pollution, ce 16 décembreAussi bien les représentants du secteur privé que les fonctionnaires présents en passant par les membres de la société civile ont insisté pour plus de pragmatisme face aux critiques jugées justifiées à l’effet que de nombreux rapports s’accumulent. Sans que ceux-ci ne soient mis en œuvre.

«Il ne faut certainement pas à chaque fois tout reprendre à zéro car il y a beaucoup de travaux qui ont été faits jusqu’à présent. Il faut simplement faire le suivi adéquat», concède Mickaël Apaya de Business Mauritius

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