La député Tania Diolle a démarré les débats sur le discours-programme ce lundi 3 février en faisant l’étalage de ses lectures et de ses références. Elle a démarré au quart de tour avec le philosophe Voltaire qui nourrit son âme tout en faisant en clin d’œil au chanteur John Legend pour souligner qu’elle aime ses imperfections.

L’ancienne chargée de cours de l’université de Maurice a aussi soutenu que son combat en faveur de l’écologie prend racine dans ses lectures des œuvres de Rabindranath Tagore et de Julius Nyerere, ancien président de Tanzanie. Elle a rappelé son engagement dans l’humanitaire dès l’adolescence en faisant des critiques contre l’opposition, non sans tarir d’éloges envers son gourou, Alan Ganoo.

C’est en expliquant «qu’on a cinq ans à aller» (sic) qu’elle a cité des extraits du tube de Rihanna, «Umbrella», histoire «d’introduire un peu de culture pop» au sein de l’auguste assemblée et de démontrer qu’ils riment avec le slogan de l’Alliance Morisien, «ensam». Enfin, elle a repris une phrase de Michelle Obama pour avancer que le nouveau gouvernement de Pravind Jugnauth n’a que faire des critiques et qu’il va «fly high» durant son mandat.

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