Jayen Chellum dit ne pas comprendre comment une société d’audit ferroviaire ayant quelques années d’existence et peu de staff a pu délivrer un certificat de sécurité à Metro Express Ltd en 23 jours. Alors que les italiens d’Ital Certifer travaillaient sur le dossier depuis deux mois.
Le président de l’Association des consommateurs de l’île Maurice (ACIM) se demande donc si ce n’est pas à la suite de «pressions politiques» que le contrat de la société italienne a été résilié puis confié à Metro Transit Solutions (MTS) de Singapour. Sans que, rappelle Chellum, que le certificat de sécurité ne soit rendu public ou du moins circulé dans la presse.
Le président de l’ACIM prévient donc qu’en cas de problèmes durant la phase opérationnelle du Metro Express, ce sont tous les acteurs mêlés à la résiliation du contrat d’Ital Certifer, puis à son attribution à MTS qui devront répondre de leurs actes.
Facebook Comments