Alors que les plages sont de nouveaux accessibles depuis le 1er juillet, plusieurs colporteurs de plage sont toujours dans l’expectative. Avec les protocoles mis en place quant aux pique-niques, il est difficile de maximiser les ventes de par l’impact de la Covid-19. Pour Bishendat Mounes, ces protocoles n’aident pas ceux, qui comme lui, font ce métier.

“Bann la nek vini nager apre ale et zot pa aste nanier”, dit-il, “be couma nou pou viv.” Selon Leena Ramdass, la réouverture des frontières, lui permettra, elle l’espère, d’avoir davantage de clients. Toutefois, cette dernière partage, tout de même, ses craintes. “Client la kan li pe vini, li pou reste zis l’hotel et lor la plage. Zot pas pou vinn aste mange lerla”, se désole-t-elle.

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