Pour Jayen Chellum, c’est la population mauricienne qui finira par payer pour le projet de métro léger. Le gouvernement a lui-même admis que le soutien de l’Inde ne suffira pas pour financer le Metro Express, fait ressortir le secrétaire général de l’Association des consommateurs de l’île Maurice.
L’association craint qu’au final, ce projet d’infrastructure ne dépasse de manière conséquente le budget prévu. Et que ce ne soit la population qui finisse par casquer.