Les vieux planteurs de canne à sucre de l’île n’y vont pas par quatre chemins : bientôt, plus personnes ne cultivera leurs terres. La baisse des profits, le manque chronique de mains d’œuvres aux champs et une hausse du prix des pesticides sont autant de facteurs qui les découragent de poursuivre leurs activités.

Ils expliquent que leurs enfants ne souhaitent pas reprendre le flambeau à cause de ces difficultés. Ils invitent le gouvernement à porter une attention particulière dans ce secteur.

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