C’est une longue lutte que la Confédération des travailleurs du secteur privé et public (CTSP) mène pour les travailleurs étrangers qui travaillent à Maurice. Selon la centrale syndicale, ils sont plus vulnérables dans le pays. Les Bangladeshi, par exemple, font face à de nombreuses difficultés, à l’exemple de la barrière de la langue.

Ne maîtrisant ni l’anglais, ni le français, ni le créole, ils communiquent difficilement avec les Mauriciens au quotidien. Que ce soit dans les commerce ou à l’hôpital s’ils ont besoin de soins, révèle une étude menée par Pratima Sambajee, une Mauricienne travaillant à l’université de Strathclyde, en Ecosse.

La loi doit être revue pour garantir de meilleures protections aux travailleurs étrangers, estime la CTSP.

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