La fermeté est, certes, de rigueur, par ces temps de couvre-feu instauré pour freiner la propagation du Covid-19. Il ne faudrait pas, pour autant, qu’il y ait de dérapages et que les officiers aient recours à la violence. Le leader de l’opposition Arvin Boolell dit un «non» sans équivoque à la brutalité policière. Et appelle citoyens et forces de l’ordre à collaborer, dans un clip posté sur sa page Facebook le mercredi 25 mars.

Le chef de file des travaillistes au Parlement réagissait aux vidéos circulées sur les réseaux sociaux montrant notamment deux hommes gisant à terre, ensanglantés, et brutalisés par des policiers. Des agissements que le Commissaire de police a vivement condamné hier.

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