Politisation, maldonnes, frustrations, opacité… Les critiques de Suraj Ray à l’encontre de ses détracteurs ne manquent pas. L’actuel président du Mauritius Council of Social Services insiste que son mandat est marqué par une volonté d’apporter plus de transparence au sein de cet organisme, contrairement à ce que veulent faire accroire ceux qui le contestent.

Une partie du comité exécutif sera renouvelée lors de l’assemblée générale prévue en mars 2020. Ce qui, dit Ray, permettra à de nouvelles têtes d’intégrer le conseil et, espère-t-il, ramènera un peu de sérénité suite à une année marquée par de nombreuses dissensions et des critiques le visant.

Mais pour que cessent les polémiques, Suraj Ray est d’avis qu’il faudrait surtout des amendements législatifs. Des changements que l’ancienne équipe dirigeante ne voulait pas voir se concrétiser, allègue l’actuel président. Après les travaux d’un comité technique sur la révision de la «Macoss Act», «nous parlerons au ministère concerné», a assuré Suraj Ray.

Visé par une motion de blâme qui n’a finalement pas pu être débattue durant une assemblée houleuse, Ray compte mener son mandat, qui expire en décembre 2020, à terme.

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