Coup d’envoi de la saison hippique

L’hippisme a repris ses droits au Champ de mars à huis clos aujourd’hui car la première journée reportée à cause de la pandémie de Covid-19. Pour celle-ci, on s’attendait à bon nombre de parieurs chez les Bookies. Mais à Vacoas, moins de personnes se sont déplacées par rapport à une journée normale. Même après la première course, les parieurs se comptaient sur les doigts chez les Bookies. Or, deux raisons sont possibles : soit ceux de la région se sont appauvris en raison de la crise économique ou craignant d’être contaminés par la Covid-19, ils ont choisi de restez chez eux.

Arjun Ramessar, 55 ans, habitant Quinze Cantons, maçon de son état, est un amoureux des chevaux. Il ne rate jamais les journées hippiques. Il souligne toutefois qu’il doit maintenant diminuer ses mises. “J’ai des ennuis financiers. Je préfère donc jouer selon mon budget”, avoue-t-il.

Il nous confirme que ses journées de travail se font rares. Et de souligner que c’est peut-être lié à la crise sanitaire. D’autre part, Arjun se dit surpris que les Bookies à Vacoas ne soient pas bondés surtout pour une première journée hippique.

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