Afin de mieux comprendre cette histoire, Patrick Belcourt, leader du mouvement ‘En Avant Moris’ a été sollicité pour connaître sa version des faits. Ce dernier a, de son côté, expliqué que c’est une affaire interne et que le parti a d’autres priorités. « Depuis que ce mouvement a fait ses débuts, nous nous concentrons sur la campagne municipale. La dame en question était dans le mouvement et elle faisait même du bon travail. Mais après, il y a eu une communication qui n’est pas en ligne avec nos engagements et au final cela s’est transformé en un débat de personnalités », a expliqué ce dernier.

Ce mouvement politique n’a guère le temps pour ce genre de chose, a précisé Patrick Belcourt, et depuis sa création, il y a plus de 10 000 adhérents. Ce dernier a affirmé qu’il ne veut nullement s’immiscer dans ce litige. Interrogé sur la « pression » exercée sur Sulakshana Runjeet pour la faire partir, Patrick Belcourt a répondu : « penser à des choses pareilles c’est noyer le poisson et je pense qu’avec la Covid-19 il y a d’autres priorités. Au lieu de faire des attaques personnelles et des spéculations, nous préférons nous concentrer sur nos objectifs ».

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