Hier, le conseil des ministres a décidé que l’île n’exportera plus le bois de santal. En effet, en vue de mettre un terme à la destruction et au vol de ce bois, le ministère de l’Agro-industrie et de la Sécurité alimentaire stoppera l’octroi du certificat phytosanitaire pour l’exportation du bois en question par le National Plant Protection Office comme mesure immédiate et apportera des modifications à la troisième annexe de la loi de 1983 sur les forêts et les réserves pour inclure ce bois en tant que plante protégée.

La décision intervient après l’abattage accéléré du Santalum Album communément appelé bois de santal, culturellement important et qui fait partie des quelques espèces poussant sur le paysage sec des basses terres du pays.

Notons, d’’autre part, que des personnes ont pénétré illégalement des propriétés privées et des terres de l’État pour couper ces arbres dans le but d’en exporter le bois.

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