«La justice a triomphé !» s’exclame Patrick Assirvaden. Les accusations de manifestation illégale auxquelles faisaient face le président du Parti travailliste, le cadre rouge Cader Sayed Hossen et une dizaine d’habitants de St-Paul ont été rayées. La décision a été annoncée en cour de Curepipe, le mardi 11 février.

L’incident remonte au 16 avril. Les résidents, excédés, protestaient contre un débordement d’eaux usées dans un quartier de St-Paul.

Les diverses poursuites initiées contre des dirigeants travaillistes depuis 2015 ont été abandonnées, souligne Assirvaden. Celles initiées suite aux incidents de St-Paul relèvent du «complot», à en croire notre interlocuteur.

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