« This year, an issue that places at risk children’s right to adequate housing, namely squatting, required significant attention. » C’est un des points relevés du rapport annuel de l’Ombudsperson for Children qui sera rendu public le mardi 6 octobre. Un rapport qui s’inscrit dans l’ère du temps notamment en raison de l’expulsion des squatters des terres de l’Etat à Curepipe, Riambel et à Pointe-aux-Sables pendant la période de confinement et de Covid-19. Plusieurs squatters sont depuis à la belle étoile, notamment de nombreux enfants en bas âge. L’Ombudsperson considère, de ce fait, qu’il faut à tout prix faire un état des lieux de la situation des enfants squatters.
Autre aspect qui devrait retenir l’attention, la situation des habitants de Cité Anoska. Les premiers extraits du rapport soulignent l’importance de permettre à ces habitants vivant dans des situations extrêmement précaires de s’exprimer en toute liberté. La région de la Cité Anoska est souvent le théâtre de drames humains et des mineurs en sont les victimes.

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