De 297 cas de grossesses précoces en 2018, on est passé à 309 en 2019. Pour Vidya Charan, c’est le manque d’éducation sexuelle dans notre système éducatif qui conduit certains jeunes à ne pas mesurer les conséquences, y compris juridiques, de leurs actes. D’autant plus que la directrice de la Mauritius Family Planning and Welfare Association estime que la plupart des grossesses précoces font suite à des rapports sexuels consentis. D’où la nécessité d’un «Comprehensive Sexuality Education Program» pour les guider.

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