Cette jeune femme, inscrite dans une université privée, risque d’être expulsée. Les démarches entreprises par l’ONG Pils pour que l’étudiante puisse poursuivre ses études, n’ont pas abouti, a déclaré Nicolas Ritter. Une situation incohérente pour le directeur exécutif de l’association qui lutte contre le VIH-sida. D’autant que, poursuit Nicolas Ritter, les autorités mauriciennes ont déjà eu affaire à un cas similaire et ont autorisé l’étudiant à rester à Maurice afin de pouvoir terminer son cursus. Et que le Premier ministre s’est engagé à ce que la loi sur « l’expulsion automatique en cas de séropositivité soit revue ».

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