Peu de plaintes par rapport aux transactions en ligne ont été enregistrées au niveau du ministère de l’Industrie, du Commerce et de la Protection des consommateurs, indique Ashit Gungah. Pour le ministre, c’est là le signe que le système « fonctionne bien ».

N’empêche, un cadre légal est à l’étude, dit-il, afin de sécuriser les transactions. D’autant que les Mauriciens sont de plus en plus nombreux à faire leurs achats en ligne, que ce soit auprès de commerçants locaux ou étrangers.

L’atelier de travail auquel il a assisté, ce matin, s’inscrit justement dans le cadre des amendements à être apportés à la Consumer Protection Act, dit Gungah. La thématique : le commerce dans l’ère digitale.

Organisé par le ministère dans le cadre de la Journée mondiale des consommateurs, cette session de travail réunit à Ébène une cinquantaine de participants : des acteurs des technologies de l’information et de la communication, des représentants légaux et du secteur privé… Leurs propositions seront prises en considération, dit Gungah.

Annoncé dans le Budget 2016-2017, le projet de plateforme nationale d’e-commerce avance, fait comprendre Gungah. Un appel d’offres a déjà été lancé pour le recrutement d’un consultant qui mènera une étude de faisabilité sur le sujet, a déclaré le ministre.

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