Les suspects arrêtés ou condamnés pour des délits de drogue (hormis la consommation) ou des agressions sexuelles contre un enfant ou une personne handicapée n’ont pas droit à la liberté conditionnelle ou une remise de peine. C’est ce que dispose l’article 51A de la «Reform Institutions Act». Des amendements sont à l’étude pour que ces provisions soient étendues aux affaires de meurtre. C’est ce qu’a indiqué sir Anerood Jugnauth à l’Assemblée nationale, le mardi 14 mai.

Le ministre mentor répondait à une question de Malini Sewocksingh, députée du PMSD.

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