Shekar Moorith, employé au casino de Grand-Baie, a appris qu’il était suspendu de ses fonctions le vendredi 17 août. La raison : un post sur Facebook suivant l’accord collectif signé récemment et mal digéré par ses supérieurs.

Il se défend cependant : ses propos ne portaient préjudice à personne puisqu’il ne mentionnait personne en particulier.

Son syndicat attend les conclusions de l’enquête interne avant de déterminer la marche à suivre.

Ashok Radhakissoon, ancien président de l’Information and Communication Technologies Authority, estime qu’«on peut tout dire sur Facebook». A condition de respecter les lois en vigueur portant notamment sur la diffamation. Mais aussi les politiques internes des compagnies quant à l’utilisation de son compte personnel mais aussi des appareils électroniques mis à disposition par son employeur.

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