A l’invitation du parti The Liberals, ils étaient une vingtaine de personnes à s’être rassemblés au pied du bâtiment Anquetil, ce matin. L’objet de leurs griefs : les nombreux « scandales » qui secouent le pays, en particulier dans le secteur de la santé. Dont celui affectant des patients qui ont perdu la vue à la suite d’injection d’Avastin. Pour Rajah Madhewoo, le ministre de la Santé Lormus Bundhoo « has to go ». Ou alors, poursuit-il, que le Premier ministre Navin Ramgoolam « prenne la décision de le renvoyer ».

Les Fact-finding committees, ajoute Madhewoo, ne servent à rien. Il est rejoint sur ce point par Munsoo Kurrimbaccus, secrétaire général du Parti Justice sociale. Qui précise que les rapports de ces comités – qui, dit-il, sont mis en place « pou fer dimoun bliye problem » – finissent au fond des tiroirs.

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