Le secteur tertiaire a connu une rapide expansion et il faut donc s’assurer de la qualité des cours dispensés. Pour Leela Devi Dookun-Luchoomun, ministre de l’Education, il faut un cadre régulateur «très efficient».

Le contrôle de qualité est un facteur important qui figure dans l’avant-projet de loi du Higher Education Bill, fait-elle comprendre. L’atelier de travail qui se tient, aujourd’hui, à Pointe-aux-Piments se tient dans ce contexte.

La Tertiary Education Commission (TEC) a convié tous les acteurs de l’éducation supérieure pour discuter de la question.

Si la ministre salue le travail abattu par le régulateur, celui-ci passera néanmoins par la case restructuration, indique Dookun-Luchoomun.

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