Ameenah Gurib-Fakim a reçu hier à la State House, un parterre d’invités à l’occasion de l’ouverture des Premières assises de la science, de la technologie et de l’innovation. Outre les participants à cette conférence organisée par la Commission de l’océan Indien, il y avait, entre autres, la Speaker de l’Assemblée nationale Maya Hanoomanjee, le ministre de l’Environnement Raj Dayal, son collègue de l’Economie océanique Prem Koonjoo, mais aussi des figures de la société civile comme Hélène Echevin, la présidente la Chambre de Commerce.

La présidente de la République a, durant son allocution, expliqué comment les débats de ces deux jours restent un « thématique importante pour nos économies ».  Et qui lui est « chère ». Elle est d’avis que cela pourra « créer la richesse et des opportunités pour les jeunes à Maurice, dans l’océan indien et en Afrique ». Elle n’a pas manqué de souligner qu’il y a 11 millions de diplômés en Afrique et qu’il sera donc impossible aux gouvernements de tous les absorber. D’où la nécessité de réfléchir sur la manière dont « l’entrepreneuriat, la science et la technologie pourront servir pour la création d’opportunités ».  Et cela dans la « qualité et dans l’excellence ».

Les Assises, les premières de ce genre dans la région océan Indien, prennent fin aujourd’hui. Plusieurs scientifiques, chercheurs et représentants des pays membres de la de la Commission de l’Océan Indien (COI) débattent autour des défis dans les domaines scientifiques et de la recherche dans la zone.

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