Figurer au Top 300 des meilleures universités au monde ? «Maurice a toutes les raisons» de voir l’une de ses institutions s’y hisser d’ici 2030, affirme Leela Devi Dookun-Luchoomun. Pour ce faire, il faut rehausser constamment le niveau de l’enseignement supérieur et sa qualité, souligne la ministre de l’Education.

C’est dans ce cadre que s’inscrit l’atelier de travail initié par la Tertiary Education Commission, ce jeudi 3 août à l’hôtel Le Méridien. Organisée à l’intention des différentes institutions tertiares du pays, cette session de travail met en lumière un Outcomes-based curriculum. Soit un programme d’études de orientés sur les résultats de l’apprentissage.

La journée est animée par Denise Chalmers, professeur émérite et experte australienne de l’enseignement et de l’apprentissage dans l’enseignement supérieur.

Cela permettra de s’assurer, explique la ministre de l’Education, que les étudiants en fin de parcours universitaire ont acquis des connaissances théoriques mais aussi les soft skills requis sur le marché du travail.

La qualité de l’enseignement dispensé, auquel ce type de curriculum participe, est aussi l’un des critères de classement des universités, note Dookun.

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