«Les collèges d’Etat doivent être mixtes», assène Françoise Labelle. «Garçons et filles doivent apprendre à vivre ensemble», explique l’une des porte-parole de la Plateforme militante.

Le regroupement a fait part de ses propositions pour réduire, voire éliminer les violences faites aux femmes le vendredi 30 novembre, à la municipalité de Port-Louis. Des commentaires qui interviennent dans le sillage de crimes atroces récents qui ont vu la mort de jeunes Mauriciennes.

Les abris pour femmes et enfants en détresse sont requis aux quatre coins du pays, insiste Labelle. Ce type de structures est aussi nécessaire pour la prise en charge des agresseurs. Pour aider à leur réhabilitation, il faudrait recourir à des thérapeutes et conseillers familiaux.

Mais, souligne Labelle, «l’Etat ne peut continuer» à s’appuyer aussi lourdement sur les ONG sur cette problématique.

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