Au Parlement, Paul Bérenger est « un fiasco ». Qui a besoin de la « béquille » Shakeel Mohamed pour garder son siège de leader de l’opposition. Les députés mauves autour de lui « nanie ditou, bann bagas ki’nn reste ». Tandis qu’au Parti travailliste (PTr), c’est une « culture de corruption » qui prévaut. Pour Ivan Collendavelloo, leader du Muvman liberater, le constat est clair : c’est au sein de son parti que l’on retrouve « les meilleurs ‘performers », que ce soit au Parlement ou du pays.

Comme Ravi Rutnah plus tôt, Collendavelloo a pris le parti de Roshi Bhadain et du projet de loi qu’il défend. Tout comme Anil Gayan, au rang des orateurs ce vendredi 13 novembre, à la salle des fêtes de Vacoas-Phoenix.

Le député kare-kare a ainsi souligné qu’en presque un an au pouvoir au sein du gouvernement Lepep, « pena enn koripsion, pena enn skandal ».

Anil Gayan a aussi fustigé le Bar Council. Celui-ci, avance-t-il, se comporte comme un « agent politique » en faisant des « déclarations en faveur du Parti travailliste et du MMM ». Antoine Domingue en a aussi pris pour son grade. Anil Gayan s’interrogeant sur la frilosité du président de l’Ordre des avocats devant les demandes de renseignements sur ses honoraires en tant que conseiller légal de la Sicom.

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