Armand Apavou en est persuadé. Il y a eu « précipitation » pour conclure la vente de ses hôtels mauriciens. Et, dans une certaine mesure, une « incompréhension » et une « méconnaissance » du dossier et du groupe Apavou au niveau du pouvoir public.

Le PDG du groupe Apavou s’interroge : pourquoi vendre quatre hôtels alors que les établissements du Sud suffisent ? Il ne comprend pas non plus ce qu’il considère comme un manque de transparence autour de la gestion du receivership. Armand Apavou affirme, en effet, que « tout ce que nous savons, on l’apprend par la presse ».

Pour rappel, les établissements mauriciens du groupe hôtelier ont été mis sous receivership. Et ceux-ci mis en vente pour pouvoir rembourser les dettes d’Apavou qui s’élèvent à Rs 2,2 milliards.

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