Il n’en démord pas. Trop de zones d’ombre subsistent autour d’Álvaro Sobrinho et des licences qui lui ont été accordées dans le secteur des services financiers, estime Paul Bérenger.

La Financial Services Commission, dit-il, doit rendre publics le courrier qu’elle a adressé aux autorités portugaises pour s’enquérir des poursuites dont Sobrinho a pu faire l’objet, mais aussi la réponse reçue.

Le leader du MMM allègue que l’homme d’affaires ferait partie d’une « clique » en Angola impliqué dans des détournements de fonds.

Bérenger affirme aussi détenir des informations à l’effet que Sobrinho avait fait une requête « verbale » à la Banque de Maurice à propos de la licence d’investment banking.

Interrogé sur le fait que Pravind Jugnauth lui demande de présenter des excuses, Bérenger a préféré ne pas répondre.

Il trouve, en revanche « révoltants » les propos d’Ivan Collendavelloo, qui a pris la défense de l’homme d’affaires angolais.

Abordant le dossier Chagos, une réunion du comité parlementaire est urgente, juge Bérenger. Cela afin de savoir où en sont les discussions avec le Royaume-Uni. Le communiqué du bureau du ministre mentor est trop vague, fait-il comprendre.

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