L’affaire Álvaro Sobrinho continue de défrayer la chronique. La polémique autour d’une licence que lui a accordée la Financial Services Commission a mis au-devant de la scène l’homme d’affaires et banquier angolais. Et le fait qu’il a fait l’objet d’enquêtes, notamment pour blanchiment d’argent.  Cette affaire, Ivan Collendavelloo dit la suivre en « spectateur attentif ».

Le Deputy Prime minister déplore toutefois la couverture médiatique autour de cette affaire. Fustigeant certains titres pour avoir publié de « faux » détails.

Collendavelloo cite ainsi le fait que le nom de son fils a été cité comme étant l’un de ceux disposant de l’une des berlines de l’Angolais (Irvin Collendavelloo a répliqué via un post Facebook – voir plus bas). Ou encore que le Muvman liberater, dont il est le leader, menaçait de quitter le gouvernement.

Le Deputy Prime minister se demande ainsi si des excuses ne seraient pas à l’ordre du jour. Et si « la presse » ne se soucie pas de l’image qu’elle renvoie du pays aux investisseurs potentiels.

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