Le gendarme comorien amputé d’un bras lors du référendum constitutionnel hospitalisé à Maurice
Il se remet de ses émotions et de ses blessures. Amputé du bras gauche et frappé à coups de machette dans un bureau de vote au Nord de Moroni le lundi 30 juillet lors du référendum constitutionnel, le gendarme Ali Radjabou reste sous observation à l’hôpital Jawaharlal Nehru, à Rose-Belle. Son épouse Eshata Ali et de son neveu, Abraham Mchangama, essaient tant bien que mal de lui remonter le moral