De «ti-malbar» à Coulibaly

De «ti-malbar» à Coulibaly

« Planquez-vous, voilà Coulibaly ! » Une seconde d’arrêt, mes oreilles ont sifflé et j’ai, moi aussi, eu mal à ma France. J’ai posément fermé la porte de la salle à manger. Arborant un sourire, je suis allé serrer les mains des dernières personnes que je n’avais pas...