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Il faut faire une distinction entre les affaires d’Armand Apavou à La Réunion et à Maurice. Alors que la cour d’appel de Saint-Denis a rejeté l’appel du groupe Apavou quant à liquidation de huit de ses sociétés à l’île sœur, ses affaires se portent très bien à Maurice. San Cooroopdass, Manager Director d’Apavou Immobilier, explique que les investissements consentis à Maurice pour divers projets totalisent Rs 25 milliards. Il annonce
Tandis que ses affaires reprennent leur envol à Maurice, elles piquent du nez à La Réunion. Classé par le magazine Challenges parmi les 500 plus grandes fortunes de France, l’homme d’affaires réunionnais Armand Apavou a vu la liquidation judiciaire de huit de ses sociétés à l’île sœur jeudi. Elles seront donc revendues aux plus offrants, indique Le Quotidien de La Réunion dans son édition de ce matin. La cour d’appel
Trois Réunionnais figurent au classement des 500 fortunes françaises établi par le magazine Challenges. Dans l’édition parue cette semaine, l’hôtelier Armand Apavou, 85e, dégringole de huit places, avec un patrimoine estimé à 700 millions d’euros selon la publication. Il est suivi de Jacques de Chateauvieux, qui possède 680 millions d’euros avec le groupe Bourbon (secteur du transport). Enfin, le frère de celui-ci, Henri de Chateauvieux, se hisse à la 368e place avec 135 millions d’euros.
Placée en receivership depuis quelque temps, le groupe Apavou pourrait être en mesure de prévenir la vente de ses hôtels. Un fonds d’investissement français a, en effet, fait une offre pour Apavou Hotels-Resorts & Spa. Le groupe comprend les hôtels La Plantation, Indian Resort and Spa, Mornéa et Moreva que les receiver managers ont proposé de vendre pour pouvoir éponger une partie des dettes du groupe. Ceux-ci sont évalués à
Armand Apavou en est persuadé. Il y a eu « précipitation » pour conclure la vente de ses hôtels mauriciens. Et, dans une certaine mesure, une « incompréhension » et une « méconnaissance » du dossier et du groupe Apavou au niveau du pouvoir public. Le PDG du groupe Apavou s’interroge : pourquoi vendre quatre hôtels alors que les établissements du Sud suffisent ? Il ne comprend pas non plus ce qu’il considère comme un manque de transparence
Le propriétaire du groupe hôtelier Apavou revient sur l’image de son groupe dans l’île. Armand Apavou se défend de pratiquer un tourisme « low-cost » mais plaide toutefois pour que le modèle de tourisme mauricien soit repensé afin de s’adapter aux marchés émergents. Retrouvez la première partie de cette interview ici.
Le propriétaire du groupe Apavou est d’habitude assez discret sur le plan médiatique. Toutefois, devant le possible démantèlement de son groupe hôtelier, il sort de sa réserve et fait part de sa « frustration ». Armand Apavou dit, d’une part, ne pas comprendre l’empressement des receiver managers, chargés de l’administration judiciaire de son groupe, de vendre certains de ses établissements hôteliers tout en ignorant les solutions que l’homme d’affaires franco-mauricien leur propose. D’autre