Pour Atma Shanto, le cas The Residence n’est pas isolé. Le syndicaliste estime que les «grooming policies» d’un certain nombre d’entreprises empêchent leurs employés, surtout les femmes, de se prévaloir de leurs libertés individuelles.

La Fédération des travailleurs unis a énuméré, ce mardi 25 avril, un certain nombres d’obligations qu’elle juge particulièrement contraignantes et actuellement en vigueur dans certaines entreprises.

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