L’ex-Premier ministre conteste la légalité de la perquisition effectuée, en février 2015, à son domicile.

La descente policière à Port-Louis puis Riverwalk avait débouché sur la saisie de ses biens, dont Rs 220 millions contenues dans des coffres-forts et des valises, et son arrestation.

Navin Ramgoolam (photo) poursuit donc l’Etat. L’affaire a été appelée en Cour suprême, ce 10 janvier.

En novembre dernier, le bureau du Directeur des poursuites publiques avait présenté une motion pour être mis hors de cause dans cette affaire. Le représentant légal de Ramgoolam a fait ressortir aujourd’hui que son client, qui n’était pas présent en Cour, insiste pour que le DPP soit maintenu comme co-défendeur.

Outre l’Etat, Ramgoolam poursuit le Commissaire de police, trois officiers du Central Criminal Investigation Department ainsi que trois magistrates.

L’affaire reprendra le 19 janvier en Cour suprême.

Photo d’archives

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