Il est connu pour soutenir le financement des investissements dans les pays en développement. Deux représentants du United Kingdom Department for International Development (DFID), Josie Steward et Philip Vernon, ont eu une session de travail avec l’Hôtel du gouvernement le jeudi 1er novembre dernier pour discuter des avenues de coopération entre Londres et Port-Louis. Notamment dans le domaine de la lutte contre le financement illicite transnational à travers les centres financiers mondiaux et régionaux.

Cette rencontre avec le Financial Secretary, Dev Manraj, a également fait ressortir que le Département britannique du développement international envisage une meilleure présence dans le secteur financier mauricien. Maurice a ainsi été invité à établir une liste de priorités et de problèmes dans ce secteur. Une telle démarche intervient à un moment où le gouvernement britannique a adopté des mesures dans le cadre du Brexit, soit la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne.

Entre autres, une enveloppe supplémentaire de 5,5 milliards de livres sterling a été votée pour soutenir le commerce entre la Grande-Bretagne et l’Afrique, c’est-à-dire l’Algérie, le Bénin, le Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, Maurice, le Maroc, le Sénégal, la Tunisie. Un Prosperity Fund Programme de 8 millions de livres sterling sera aussi adopté pour la mise en place d’un UK-Southern African Economic Partnership Agreement. Lequel sera géré par le DFID.

Lancé en 1997, le Département britannique du développement international vise à favoriser le développement durable et éliminer la pauvreté à travers le monde, de même qu’à améliorer la vie des femmes à travers l’éducation et le planning familial et à lutter contre le changement climatique.

Facebook Comments