Ils se disent convaincus que « c’est à l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) que se joue, pour une bonne part, le combat pour le respect de la pluralité des cultures ». Et c’est fort de cette conviction que vingt écrivains, artistes et penseurs soutiennent la candidature de Jean Claude de l’Estrac et de Maurice à la présidence de l’OIF.

La candidature mauricienne, écrit le collectif, « exprime la synthèse positive du monde en mouvement ». Le pays fait « de l’idéal interculturel une quête constante » tout en apportant « l’image d’une francophonie originale et décomplexée, résolument ouverte et heureuse d’exister ».

On retrouve au sein de ce collectif, qui a publié un texte à cet effet sur Le Monde : le Prix Nobel de littérature Jean-Marie Leclézio, l’écrivaine Ananda Devi, le poète Edouard Maunick, le linguiste Issa Isgarally, mais aussi le scientifique Joël de Rosnay, l’écrivain  réunionnais Axel Gauvin, le Marocain Tahar Ben Jelloun, ou encore la journaliste Laure Adler.

 

Les autres membres du collectif

Jean-Claude Guillebaud, journaliste et essayiste – Amadou Mahtar Ba, journaliste – Patrice Nganang, écrivain – Ngo Bao Chau, professeur de mathématiques, médaille Fields 2010 – Nguyen Quang Thieu, poète et écrivain – Jean Orizet, critique et poète – Jean-Robert Pitte, président de la Société de géographie et ancien président de la Sorbonne – Johary Ravaloson, écrivain – Philippe Rey, éditeur – Daniel Vaxelaire, historien et romancier – Abdourahman Waberi, écrivain – Dominique Wolton, directeur de recherche au CNRS – Federico Mayor Zaragoza, scientifique et ancien directeur général de l’Unesco

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