«This Office has advised no further action against Mr Gunness.» Le secrétaire général du MMM ne fera pas l’objet de poursuite.

Le bureau du Directeur des poursuites publiques (DPP) souligne les «divergences significatives» entre la déposition faite à l’encontre d’Ajay Gunness et les images des caméras de surveillance se rapportant à l’incident.

Le bureau du DPP indique que les preuves sont «insuffisantes» pour justifier une charge d’«obstructing police officer», de «molesting public officer» ou d’ «outrage against an agent of civil authority».

Ajay Gunness s’était rendu au poste de police de Flic-en-Flac dans la nuit du samedi 15 avril. Son beau-frère avait été contrôlé positif lors d’un alcotest. Selon des policiers, Gunness serait intervenu et les deux hommes étaient repartis sans autorisation.

Le principal intéressé se dit soulagé. Et insiste sur le fait qu’il a été au centre d’un «complot» ourdi par le gouvernement. Cela en amont des rassemblements du 1er-Mai.

Ajay Gunness rappelle ainsi les propos de Pravind Jugnauth au Parlement sur cet incident, le 18 avril. Mais aussi le 20 juin dernier, quand le chef du gouvernement l’a affublé du sobriquet de «shérif».

Le beau-frère de Gunness, indique le communiqué du bureau du DPP, sera poursuivi pour avoir conduit un véhicule alors que son taux d’alcoolémie est supérieur à la limite légale.

Le beau-frère, indique le communiqué du bureau du DPP, sera poursuivi pour conduite d’un véhicule alors que son taux d’alcoolémie est supérieur à la limite légale.

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