Alors M. Gujadhur, votre amour pour le cheval date de quand ?
Je fais partie de la quatrième génération, depuis la première décennie du siècle dernier, à être activement et directement impliqué dans et associé à la promotion des courses hippiques au niveau local et international. C’est peut-être un accomplissement unique au sein de la diaspora indienne.
Au cours d’une saison, vous assistez à combien de journée de courses ?
Je cherche l’équilibre entre ma famille, le travail et les passe-temps… Donc, une vingtaine de journées.
Comment voyez-vous l’ambiance qui règne au Champ-de-Mars ?
L’ambiance avec les chevaux est toujours stimulante mais le jeu a envahi l’atmosphère.
En toute honnêteté, trouvez-vous que les courses s’améliorent d’année en année ou empirent-elles ?
Il faut revoir les critères mais les courses sont bien disputées.
Quelle est la solution, d’après vous, pour l’assainissement des courses ?
Il y a un article que j’ai mis sur ma page d’accueil de l’Asian racing Conference sur la corruption. Let’s try to implement it.
Votre meilleur souvenir ?
Il y en a plusieurs mais puisqu’il faut choisir, la victoire de Forest Cabin lors de la journée du Maiden 1995.
Votre pire souvenir ?
Le claquage et la perte de Count Kirov.
Si vous deviez être un cheval, ce serait lequel ?
Noble Salute.
Est-ce que vous misez ?
Très rarement, et que sur le tote.
Quel conseil donneriez-vous aux turfistes ?
De ne pas considérer les courses de chevaux seulement from the glory aspect.
Un mot pour conclure ?
Nous traversons une zone de turbulence à différents niveaux, il faut être solidaire et que prime l’intérêt des courses.
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