C’est trop facile pour une femme d’accuser un homme pour viol parce qu’il a décidé de ne pas l’épouser. La Cour suprême indienne a statué ce jeudi 3 janvier qu’un viol ne peut être invoqué lorsqu’un couple vivait en concubinage et qu’ils ont eu des rapports sexuels consensuels. Elle se penchait sur l’appel d’un médecin condamné de viol par son ancienne compagne, une infirmière, après qu’il se soit marié avec une autre femme.

«Il y a une distinction entre viol et le rapport sexuel consensuel. La Cour, dans ce cas, doit examiner si l’accuser voulait véritablement épouser la victime. On est alors face à une rupture de promesse de mariage pour des faveurs sexuel. Cela ne représente en aucun cas un viol», fait ressortir la haute cour de la Grande péninsule.

La Cour suprême indienne a aussi pris note que l’accusatrice, une veuve, a admis être tombée amoureuse du médecin sous lequel elle travaillait et qu’elle a accepté de vive en concubinage avec lui. Elle a donc cassé le verdict de la Cour suprême de Bombay qui avait condamné le médecin.

 

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