« Il n’y avait aucune preuve de corruption ni d’abus de pouvoir. » C’est pour cela, dit Navin Ramgoolam, que trois charges de « using public office for gratification » dans le cadre d’allocation de terres de l’Etat alors qu’il était chef du gouvernement ont été rayées en Cour aujourd’hui.

Ramgoolam était soupçonné d’avoir favorisé l’obtention de baux dans les cas de Tarisa Resort à Mon Choisy, du pandit Sungkur à Trou-aux-Biches et de l’acharya Sonu Kumar Jha.

Le leader du Parti travailliste, qui fait face à d’autres accusations, est confiant que les autres affaires connaîtront la même issue. « C’est une vengeance politique », insiste Ramgoolam.

Navin Ramgoolam comparaîtra de nouveau demain, en Cour intermédiaire, cette fois pour l’affaire Roches-Noires.

Il se présentera également devant la justice le 12 août pour l’affaire Betamax ainsi qu’une affaire de faux liée aux terres de l’Etat.

Photo (archives) : Navin Ramgoolam (au centre) est avec son avocat Shaukat Oozeer devant la Cour de district de Port-Louis.

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